mardi 3 juin 2014

Razafitsihadinoina, Gilde. Tamatave en courts. : ateliers de réalisation documentaire à Madagascar

 Versions en français et malgache ;
 sous-titres en français et anglais. - 
Copyright : Ardèche Images production ; 
Les Films de Lili ; 
Cinaps TV, 2013. - Format image : 16/9
  
Les enfants de la périphérie : Un enseignant du lycée français de Tamatave part filmer une classe de primaire d'un village pauvre de la périphérie. Les enfants qu'il rencontre sont casseurs de cailloux à la carrière et ne sont pas toujours en état d'étudier. À son retour, il montre les images à sa classe.
 La maison bleue : Alors qu'à Madagascar le concept de maison de retraite n'existe pas, une quinzaine de pensionnaires d'origines variées (réunionnaise, française ou malgache) est prise en charge par la structure "Maison bleue", à Tamatave. Récits de vie.
 Campus B :L’Université de Tamatave est censée former les futurs cadres de Madagascar, pourtant le quotidien des étudiants rime avec désordre, indiscipline, insalubrité, voire insécurité. La fatalité politique y règne déjà et les étudiants et l’administration se renvoient la faute continuellement. Le campus B5 est le reflet de ce pays qui va mal.


Todisoa et les pierres noires : Pour nourrir sa famille, Todisoa parcourt chaque jour les 7 km qui séparent son village de la ville de Tamatave, deux sacs de charbon posés sur les épaules. À Vohitrambato, pour le projet d’extraction minière d'Ambatovy, certains, comme Todisoa, ont été expropriés de leurs terres tandis que d'autres ont été déportés d'un village voisin. Aujourd'hui tous doivent lutter pour survivre.
 Au temps des litchis : Une journée de récolte de litchis à Mangarivotra, un petit village malgache. Une journée différente de la plupart des autres jours de l'année car après le travail et la vente de la cueillette, vient le temps de la fête.
 Mon insurrection : J'ai toujours ignoré l'histoire de mon pays jusqu'au jour où j'ai vu mon grand-père pleurer devant des images de la Seconde Guerre mondiale. Il pleurait parce que son père avait été retenu en France alors qu'à Madagascar se préparait l'insurrection de 1947. Aujourd'hui, c'est mon devoir de faire connaître l'histoire de mon pays en mémoire de mon grand-père et de tous les Malgaches qui ont versé leur sang pour la patrie.

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